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Photo du rédacteurPierre

Le camping de la chasteté chaste-t.com 3/4


Plongeant dans les profondeurs.


Dispersés dans la petite rivière, les rochers brillaient au soleil. Le courant n'était pas trop fort, mais assez pour créer un fossé où l'on pouvait nager. Comme c'est charmant, comme c'est rafraîchissant. Le vrai plaisir était un gros rocher au milieu de la rivière. On pouvait y plonger, dans l'eau froide, et flotter avec le courant sous l'eau. Froid glacial, mais si rafraîchissant.

Seules quelques personnes étaient allongées sur la petite plage de galets. Les pierres étaient trop chaudes. Après un moment, ils sont retournés à la caravane. Il regarda à nouveau les emplacements où les mêmes hommes et les mêmes femmes avaient leurs caravanes et leurs tentes. Et les mêmes hommes portaient leurs appareils. On aurait dit qu'ils y étaient habitués. Ils lui adressaient un regard ou un sourire en guise de salut.


"J'ai un cadeau pour toi", dit-elle. Oh, mon Dieu, pensa-t-il, qu'est-ce que ça peut être ? Elle a pris un petit paquet et le lui a tendu. Il était à la fois curieux et craintif. Quand il a déballé le papier, il y avait une carte à l'intérieur. Une carte routière de la région. C'est pour ton vélo, dit-elle, tu ne pouvais pas en commander une à l'avance, car tu ne savais pas où nous allions. Alors je l'ai fait. Il a été touché par son attention. Ils s'étaient disputés à ce sujet. Il était tellement en colère qu'elle ait refusé de dire où ils allaient. Il était tellement en colère de ne pas pouvoir planifier un voyage à l'avance. Tellement en colère, parce que ça donnait tellement de joie de faire des plans comme ça. "Merci", a-t-il dit, "merci". Il a réussi à retenir ses larmes. Il a été très touché ces dernières heures. La confrontation avec les hommes en chasteté, la réalisation que ces vacances seraient si différentes, la peur de ce qui pourrait arriver. Et maintenant, la libération. Il allait faire du vélo. "Est-ce que tu peux attendre un jour, après-demain serait beaucoup mieux." dit-elle. "Bien sûr, bien sûr." Il a marmonné.


Pendant une heure, il a cherché sur la carte où il pouvait aller. Trouver les belles pistes, les montées abruptes qu'il aimait tant.

"Il est temps de préparer le dîner. C'est l'une de tes affaires principales pour les trois prochaines semaines. dit-elle. "Retour à la réalité", répondit-il en souriant. Il aimait cuisiner, donc ce n'était pas un problème.


Dans la soirée, il est devenu plus curieux de savoir ce qui se passait dans le camping, mais sa suggestion de regarder autour de lui a été négligée. "Tu as vu les hommes dans le coin ? Elle a demandé.

"Oui", répondit-il brièvement.

Qu'est-ce que tu en penses ?

C'est ahurissant.

Vous savez, j'ai fait une réservation pour ce camping pour les trois prochaines semaines. C'était bien. Mais il y a une condition pour que nous puissions rester ici. Sinon, nous devrons partir demain. '

"Qui est". Il connaissait déjà la réponse.

"Eh bien, je veux que vous y réfléchissiez très sérieusement. Je veux que tu ailles dans la caravane, que tu y réfléchisses et que tu te décides. Si tu veux rester ici, tu dois t'adapter. Vous devrez être comme eux. '

"Vous voulez dire se promener nue et tout ça ? '

Oui, et ce qui en découle.

"Qui est".

"Soumission, servitude, obéissance.

"Vous savez que je ne peux pas vous résister.

"Je veux quand même que vous alliez dans la caravane et que vous décidiez. Ce n'est pas pour un jour, c'est pour les trois prochaines semaines. Il n'y a pas que le "nous deux". C'est dans le camping. Je veux que tu ailles à l'intérieur et que tu prennes ta décision. Si tu veux rester, tu sais quoi porter et quoi ne pas porter. '

La façon dont elle l'a regardé l'a fait taire. Il est entré dans la caravane. Il savait déjà comment il allait sortir de la caravane. Il ne pouvait pas résister à son appel. Pas si elle était dans son appareil. Son cerveau s'est emballé. Trois semaines, soumission, servitude, obéissance. Pas en privé, mais en public.

Quelle était son intention ? Ce qui allait arriver.

Il s'est senti impuissant, impuissant. Il a haussé les épaules, a enlevé son pantalon, mis sa chemise et est sorti de la caravane.

Il était là, nu, comme les autres hommes qu'il avait vus.

Il n'était pas choqué. Il était juste, eh bien juste ça. Nu, vulnérable, voulant, attendant

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