Je lui avais dit de ne pas me faciliter la tâche. Ça faisait 28 jours depuis mon dernier orgasme. Déverrouillé seulement deux fois pour un nettoyage supervisé, je n'ai pas eu du tout accès à mon pénis. Mon dispositif inoxydable est maintenant la norme. Je ne me souviens pas vraiment de ce que c'est que d'avoir une bite nue entre les jambes.
En plus des restrictions sur ma bite, je n'avais eu aucun contact avec la chatte de ma femme jusqu'à présent dans ce cycle. Je n'ai pas été autorisé à la servir parce que j'en ai tellement envie. Elle n'a eu qu'un seul orgasme ce cycle. Nous étions allongés dans le lit, j'étais attaché, elle s'excitait sous les couvertures, inconsciente du fait que j'étais présent. Ses gémissements étaient de la musique pour mes oreilles... l'agonie qu'ils créaient alors que ma bite se tendait dans sa cage. Un orgasme pour elle, un baiser de bonne nuit pour moi.
Ce soir, ça allait être différent. J'ai reçu un message de ma femme au milieu de la journée de travail.
"J'ai besoin de jouir ce soir. Tu seras déverrouillé."
Dieu merci !
Je suis rentré du travail. Il n'avait plus été question d'un quelconque temps de jeu jusqu'à ce que les enfants soient couchés. Je commençais à penser qu'elle avait changé d'avis jusqu'à ce qu'elle me dise d'aller me préparer pour le lit.
"J'ai besoin d'une bite en moi."
Quand je suis entré dans la chambre, j'ai vu qu'elle avait fait quelques préparatifs. Une longueur de corde à linge avait été attachée à chaque poteau du lit. Oui !
Ma femme est arrivée derrière moi et m'a entouré de ses bras. Elle a embrassé mon cou. Dans sa main gauche, elle tenait un foulard. Elle l'a approché de mon visage et l'a attaché autour de mes yeux.
On m'a conduit au lit et on m'a dit de m'allonger. Une fois en place, les deux poignets et les chevilles ont été attachés fermement avec la corde à linge.
J'ai entendu le tintement des clés. Avec un clic et un peu de secousse, ma bite était libre. Ma femme s'est empressée d'enlever l'anneau de base avant que je ne devienne trop dur.
"J'espère que tu vas aimer ça."
J'ai commencé à répondre quand quelque chose a été poussé dans ma bouche. C'était du caoutchouc... d'où ça venait ? On n'avait pas de bâillon !
J'ai senti le lit bouger et j'ai entendu ma femme chercher autre chose dans un sac en plastique.
Ça, je l'ai reconnu. Mais pourquoi ? Pourquoi est-ce que je portais maintenant mes silencieux de pistolet ? Je suis pour les trucs pervers, mais ça ne lui ressemble pas du tout. Oh et bien, je n'ai pas d'autre choix que de faire avec. La seule chose qui me préoccupe en ce moment, c'est ma bite dure comme le roc et sa chatte humide et serrée !
Je l'ai sentie se placer entre mes jambes. C'est parti ! Une main a saisi la base de ma bite. L'autre... que faisait l'autre ?
Soudain, j'ai senti quelque chose engloutir ma queue. Ce n'était pas sa chatte. Ce n'était pas une bouche. C'était comme un préservatif. Un préservatif vraiment lourd.
Ensuite, j'ai senti que mes couilles étaient tirées à travers ce qui ressemblait à un anneau pénien en caoutchouc.
Je me suis alors rendu compte que je venais d'être équipé d'une gaine d'extension de bite. Un autre nouvel achat apparemment !
Elle m'a monté. Je pouvais sentir son poids sur moi et une petite pression sur ma bite, mais certainement pas assez pour me faire avancer.
De haut en bas. Lentement au début. Des poussées superficielles. Comment ça, peu profondes ? Je n'avais aucune idée de la longueur de ce truc avec lequel je la baisais.
Je pouvais entendre de très, très faibles gémissements. Ce qui, vu que j'étais maintenant malentendant, signifiait qu'elle prenait du plaisir. J'ai tout raté ! Je ne pouvais même pas la regarder se faire baiser !
Il n'a pas fallu longtemps avant qu'elle me/nous baise à pleine vitesse. Ses ongles s'enfonçaient dans ma poitrine, créant un contraste étrange avec la dépravation sensorielle.
Soudain, elle s'est arrêtée. Elle m'a fait descendre. Allait-elle l'enlever ?
J'ai senti que l'anneau était retiré de mes couilles et que la gaine était enlevée. J'ai senti un peu de précum s'écouler du tube sur ma jambe.
Ensuite, il y avait le bâillon et les silencieux.
"Dieu merci !"
Le lit a encore bougé. J'avais l'impression qu'elle allait chevaucher ma queue et j'étais plus que prêt pour ça !
Quelque chose de chaud et humide a touché mon menton. Il a été frotté sur mes lèvres et jusqu'à mon nez.
Le temps que je réalise que c'était sa chatte, le lit a encore bougé.
Elle m'a embrassé sur la joue.
"Bonne nuit."
On m'a laissé les yeux bandés et attaché toute la nuit. Je me léchais les lèvres à vif et sentais son parfum post orgasmique qui couvrait mon visage.
Putain.
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