J
e n'étais pas sûr de savoir comment il supporterait sept jours, il peut être un vrai casse-couilles après trois, mais croyez-moi. Ça a toujours été. "Oh, j'ai besoin de jouir". "Oh mon Dieu, ça fait trois jours maintenant... Oh je suis si grincheux d'avoir à attendre, oh pauvre moi, il est évident que tu ne m'aimes plus" (ffs).
Mais maintenant, maintenant ! C'est. "Oh mon dieu je suis si excitée. Ça fait déjà trois jours, je suis tellement excitée. Si je suis bon, il ne reste plus que quatre jours à passer". W.T.F. ? Et. Ecoutez ça. C'est tout ce que le marché lui rapporte, de sortir. Je pourrais juste le laisser sortir pour se branler (même si je devrais au moins être là) et il me remercierait quand même ? J'adore ça ! J'aime ça, j'aime ça, j'aime... ah !
Non. J'avais de plus grands projets, beaucoup plus grands ; j'avais besoin d'une grande récompense et je devais faire de cet événement un GRAND événement.
Cette semaine, j'ai été sans pitié, je me suis penchée devant lui pour vérifier mes lacets, je me suis penchée pour lui montrer que je n'avais pas de soutien-gorge (pour le moment, je n'en ai pas l'habitude), je l'ai fait venir sous la douche pour me nettoyer pendant que je me tenais sous la douche, toute chaude et étincelante, et qu'il devait se tenir dans le courant d'air de l'eau chaude, juste dans sa cage. La taquinerie peut être tellement amusante.
J'ai lu de nombreux conseils sur les techniques de taquinerie faciles (en voici un bon) : Demandez-lui d'écrire ses fantasmes préférés ou une liste de scénarios excitants. Cela lui prendra toute la journée (du temps libre pour vous) et il sera excité rien qu'en le faisant, la liste pourrait même être utile comme carburant pour la passion à l'avenir.
Pendant toute cette semaine, je lui ai demandé de masser une partie de mon corps, de l'autoriser à embrasser ma chatte ou de me faire des avances si j'en avais envie. Une ou deux fois, je n'en avais pas envie et je me suis réveillée la nuit en mettant ma main sur sa tête pour le pousser sous les couvertures.
Pas une seule fois, il n'a fait savoir qu'il "attendait" quelque chose en retour. Il m'a demandé une fois (au quatrième jour, je crois) : "Tu n'aimerais pas avoir une vraie bite au lieu d'un gode ?" et à ce moment-là, je l'ai fait, et c'est ma bite maintenant, alors pourquoi pas. J'avais de la crème contre les hémorroïdes près du lit depuis des mois (ça vaut le coup d'essayer plutôt que de mettre un double préservatif). Je l'ai débloqué, l'ai frotté et l'ai fait attendre un moment avant de le laisser me labourer.
Je lui ai dit qu'il n'était pas autorisé à jouir, et de se retirer s'il allait le faire, mais il n'y avait aucune crainte de cela. Il y est allé comme un homme possédé. Il me creusait, si profondément ! Grognements et coups, mais rien de plus pour lui. Il ne pouvait pas venir. Mais ce qu'il y a de bien dans le fait d'être éperonné par un homme, c'est que je peux jouir, orgasme après orgasme après orgasme, jusqu'à ce que je sois littéralement à court d'énergie orgasmique ou que je m'évanouisse complètement (Oh oui ! en voilà un autre pour la liste, plus de crème).
Ainsi, au fil de la semaine, j'ai eu d'innombrables orgasmes et lui n'en a eu aucun. Étonnamment, le matin suivant chaque session de baise/succion/toyau où je ne lui ai pas permis de jouir. Il me remercie d'avoir retenu son orgasme, me dit à quel point il se sent bien, même si cette nuit-là son pénis était presque à vif. D'autres soirs, il m'a littéralement supplié de le laisser sortir (jusqu'à ce que je lui rappelle que je pouvais ajouter un jour de supplication, c'est ce que tu voulais vraiment, et ça vaudra la peine d'attendre).
Pour le gâter, vendredi soir, j'ai tenu mon vibrateur contre sa cage. Il se cabrait presque, et était si proche. Mais il n'était pas question qu'il jouisse en cage.
J'avais commencé à porter la clé le soir, sur une chaîne autour de mon cou ; il ne pouvait pas la quitter des yeux. "Là, juste là, c'est ma liberté" disaient ses yeux.
Pas question, mon pote, c'est mon jouet en cage maintenant et ceci est ma clé. Je suis le détenteur de la clé... Non, je ne peux pas m'en empêcher :
"S'il y a quelque chose de bizarre, et que ça n'a pas l'air bon, qui allez-vous appeler ?"
Il est devenu assez maussade à un moment en disant que "les règles devraient être renégociées" alors j'ai répondu. "Ok, j'ai ajouté une semaine. Négocie cette bite en cage de capitaine" et ensuite quand il était sur le point de faire une grosse erreur en ouvrant sa bouche "S'il te plaît, gémis encore, il reste tellement de jours dans cette putain d'année". (Inspirer, compter jusqu'à dix, expirer).
La façon dont il a répondu. Wow ? On aurait cru que je lui avais coupé le pénis. Il a passé toute la journée à faire tout ce qui était en son pouvoir pour le regagner, au bord des larmes ; j'aurais eu de la peine pour lui s'il n'avait pas commencé tout ça en premier lieu. Oui, il faut faire attention à ce que l'on souhaite. Finalement, après un plat à emporter et beaucoup d'autres pelletées de merde. Je l'ai remis à sept jours (ce qui se trouve être demain et me convient mieux).
PUIS LE SEPTIÈME JOUR EST ARRIVÉ. L'heure du succès ou de l'échec. Préparer ma meilleure performance.
C'est incroyable comme les choses du passé ont une façon étrange de surgir. Non, pas sa bite, qui ne surgit nulle part. Je veux dire des trucs stupides qui ont essayé et échoué à atteindre la ligne de départ.
"Bébé, tu as toujours ce plug anal que tu as essayé de m'intéresser" ?
コメント