"
Bonne réponse. Bien joué. Je vais te laisser me faire un massage et peut-être un peu de langue ce soir. Je te laisserai sortir pour jouer dans quelques jours. Oui, le sixième jour. Donc ça sera... samedi. Tant que tu ne fous pas tout en l'air", je le regarde pour une réponse, le sourcil levé, parce que ce n'est pas vraiment une question, n'est-ce pas ?
"Oui. Oui, merci, chéri. Merci, je ne te laisserai pas tomber, merci de faire ça pour moi".
Alors c'est parti, ça vaut bien quelques jours pour voir si c'est aussi réel qu'on le prétend.
Il m'a donc massé, puis a fait tout le reste, me rendant aussi détendu que seul un orgasme frissonnant et un massage corporel peuvent le faire. Il n'a pas demandé ou semblé attendre quelque chose en retour, il m'a simplement embrassée, m'a dit "merci" et s'est couché. Je me souviens avoir pensé "Oui, il a l'air plus jeune ce soir". Je lui ai caressé les couilles (parce qu'il faut bien donner quelque chose en retour) et je me suis endormie en femme très, très heureuse.
Et ce fut le début d'un nouveau voyage fantastique qui allait nous profiter à tous les deux. À l'époque, je me sentais vraiment excitée à l'idée de ce qui allait se passer. Mes chances d'avoir un chiot sont passées de jamais à jamais en quelques semaines, yip !
C'est comme ça que ça s'est passé.
Je savais que pour que cela fonctionne, je devais y mettre du mien, oui, ce serait un peu plus de travail, mais j'en retirerais beaucoup plus. J'ai trouvé quelques conseils sur le net qui m'ont beaucoup aidé à être un détenteur de clé (cela me rappelle Ghost Busters "I am the key holder", ouais ok Geeks je sais que c'est "gate keeper" ou, qui s'en soucie vraiment ? Juste... peu importe).
Pour que la balle roule (ou que les balles se remplissent), j'ai fait les taquineries et les flirts appropriés, j'ai pincé ses fesses ou tapoté sa cage, je lui ai dit que cela m'excitait de savoir qu'il était enfermé (même si ce n'était pas le cas), juste pour lui faire savoir que je n'avais pas oublié ses efforts.
Quand il entrait, je parlais à sa taille : "Bonjour M. Pickle, comment va mon petit jouet ? Est-ce qu'il te protège pour moi ?"
Le fait de réaliser que je contrôlais vraiment sa bite maintenant m'excitait... beaucoup ! (Imaginez ça). "S'il y a quelque chose d'étrange dans ce..." (Mince, cette chanson est dans ma tête maintenant).
Les deux jours qui ont suivi ont été marqués par beaucoup d'aide pour les tâches ménagères et par les langues, les jouets et les massages nocturnes, toutes mes idées et certainement plus d'orgasmes que je n'en aurais normalement besoin ou même que je n'en voudrais, ce qui m'était arrivé (pas à lui évidemment.) J'en étais toute excitée.
Il n'avait vraiment pas joui depuis presque six jours ? (Oui, je sais, et alors, mais c'est de mon mari que je parle) et je me suis rendu compte que toute l'attention que je recevais était authentique. Ce n'était pas un prélude à sa libération sexuelle (parce qu'il savait qu'il n'en aurait pas, j'avais été parfaitement claire sur le fait qu'il n'en aurait pas et que demander entraînerait une pénalité). Peut-être que le fait de ne pas avoir de pression était ce qui m'excitait tant ?
Je savais qu'il était prêt à tout pour jouir (même si je ne suis pas sûre que j'aurais dû apprécier ce moment), alors je lui ai proposé de caresser sa cage ou son perenium (oh il aime ça) chaque soir pendant qu'il se calmait et que je m'endormais. Ce n'était pas un mauvais échange, vraiment.
M. Pickle m'a manqué. Mes jouets sexuels sont étonnamment rassasiés, mais il me manquait de le voir pousser contre moi, je voulais de la viande d'homme. Je ne voulais pas dépasser les six jours moi-même, alors j'étais contente qu'il n'ait pas tout foutu en l'air et ajouté des jours supplémentaires. Je voulais une vraie bite en moi (bien qu'un conseil que j'avais lu était d'appliquer une crème anesthésiante pour qu'il puisse frapper sans jouir, ce qui était très attirant), mais jouir cette fois-ci est quelque chose que je voulais et qui faisait partie du plan, alors j'étais d'accord pour le faire attendre jusqu'à demain.
J'ai entendu dire qu'une excellente alternative est une sangle pour lui avec un gode réaliste à peu près de sa taille (ou même plus grand), de sorte que vous obtenez toujours la sensation d'être baisé par un homme sans gâcher ses "vacances du sperme". Le simple fait de lui faire regarder les photos de cet article possible va l'épater.
Bref...
Enfin, le sixième jour, je lui ai fait mériter sa libération (bien sûr). Il a été très romantique toute la journée, m'a donné beaucoup d'attention sexuelle le soir et finalement, je lui ai dit qu'il serait autorisé à sortir et qu'il se séparerait de son sperme très bientôt.
C'était à moi de décider de la façon dont il jouirait, et je n'ai pas eu à m'inquiéter d'être fatiguée ou de ne pas être d'humeur (un autre gros avantage, car qui sait comment ils peuvent être excités dans une semaine ?) J'avais eu le temps de chercher d'autres astuces pour le taquiner, ce qui, je le savais, allait titiller quelques-uns de ses os pervers.
Je voulais un autre couple d'orgasmes d'abord (et des moments comme celui-ci sont parfaits pour essayer de travailler sur ce qui devrait être sur la liste des courses), alors je me suis simplement allongé et a dit "OK, commencer à gagner votre libération". Il s'est mis au travail avec sa langue (ce qui est toujours un bon début) et avec l'aide de l'un de mes nombreux jouets merveilleux, il a finalement gagné la clé (que je préparais pour lui), quand, tout à coup, j'ai chanté : "Who ya gonna call".
"Pardon, quoi chéri ? J'ai besoin d'appeler quelqu'un pour la clé ?"
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