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  • Photo du rédacteurPierre

Chaste-t.com vous souhaite de bonne vacances en chasteté 3/3



"Oui, euh non, c'est bon, elle voulait vraiment celui-là." J'étais stupidement excité. Pas dans le sens où cela me donnerait une érection embarrassante, mais dans le sens où je sentais le sang affluer dans mon corps et où je voulais plus de ce que c'était, beaucoup plus. Comment avait-elle pu être sûre que c'était quelque chose que mon "partenaire" avait demandé ? Ce n'est que plus tard que j'ai réalisé que la capture d'écran avait toujours le nom du gardien des clés affiché en haut, car elle était jointe à un SMS.

J'ai payé la cage et j'ai quitté le magasin. De retour à mon hôtel, une conversation par SMS s'est ensuivie, au cours de laquelle j'ai montré la cage à la gardienne des clés, lui ai parlé de son achat et lui ai dit de l'enfiler, de jouer avec moi en regardant ses photos et de lui envoyer une photo du résultat. Une bite raide avec trois anneaux mordus, un quatrième plus large mordant fortement sous mes couilles. Une fois qu'elle avait vu ça, l'ordre était de voir si je pouvais jouir dedans, mais d'arrêter si je pensais que j'allais jouir. Cela peut sembler contradictoire, mais c'était logique pour moi. Les dispositifs comme celui-ci permettent l'érection et donc un certain degré d'engorgement. Passé ce stade, ça fait mal, très mal. Il faut alors choisir entre se libérer et faire face à la douleur. Il devient difficile de faire la distinction entre le plaisir et la douleur, mais vous savez, lorsque la douleur est à son comble, que l'orgasme est proche et que vous pouvez le sentir partir de la base des couilles, essayant de franchir ce qu'on appelle parfois les "portes de l'enfer".

En une semaine, ce test a été poussé à l'extrême. Cette simple cage n'est pas sécurisée ou verrouillable, mais le grand anneau sous les testicules la maintient en place si vous choisissez de la laisser là. On m'a dit de la porter toute la nuit à la maison. Je l'ai fait et je me suis réveillé plusieurs fois avec la douleur des érections nocturnes naturelles qui m'obligeaient à rester debout jusqu'à ce que la gravité me soulage. Le lendemain, le gardien des clés est venu me voir. Je lui ai fait un massage et elle est restée nue, ne m'encourageant pas à la toucher entre les jambes et me disant d'arrêter quand j'essayais. Puis elle m'a dit de me mettre nu aussi. Mes couilles étaient gonflées et serrées par l'anneau du bas, tandis que les trois autres mordaient dans ma tige en érection.

"Tu crois que je pourrais te baiser avec ça ?"

"Ça pourrait faire mal."

"Toi ou moi ? Je m'en fous si ça te fait mal." C'était un ton plus ferme que jamais. "Mets-toi sur le dos sur le lit."

J'ai fait ce qu'on m'a dit et elle m'a taquiné avec sa mouille, se frottant sur ma poitrine et mes cuisses, et faisant glisser le bout de ma bite contre elle. Puis elle s'est retournée, s'est assise sur mon visage et a attrapé ma queue en cage avec force. Une fois que mon visage était mouillé et qu'elle avait atteint plusieurs orgasmes, elle s'est arrêtée, s'est retournée et m'a regardé dans les yeux.

"Je vais monter ça. Si ça me fait mal, je pourrais m'arrêter. Tu peux essayer de jouir si tu veux."

La gardienne de clés, avec ses tétons dressés et ses yeux verts fixant les miens, m'a raconté pendant qu'elle me prenait comment elle pouvait sentir chaque anneau froid et dur en elle. Ça m'a fait mal, mais j'étais trop excité pour m'en soucier. Ça faisait encore plus mal quand je devenais plus excité et que les anneaux mordaient, surtout celui à la base de mes couilles quand elle a poussé fort et rapidement sur moi. Elle semblait complètement inconsciente alors qu'elle jouissait de plusieurs orgasmes, se tordant plus que d'habitude et me trempant plus qu'avec le PA. Puis elle a pris son pied. Aussi simple que cela. Elle s'est levée, s'est habillée et m'a dit que je ne viendrais pas avant un certain temps, car je ne pourrais pas arriver à temps. J'étais frustré, excité et confus. Encore une fabuleuse combinaison d'émotions exacerbées.

Depuis ce moment-là jusqu'à aujourd'hui, elle a le contrôle de mes orgasmes. Cela n'a jamais été explicitement discuté en soi, mais il était évident pour nous deux que c'était ce que nous voulions. Le manque de sécurité de la cage est vite devenu un problème. Plusieurs jours après m'avoir pris dans la cage, elle m'a fait me masturber devant elle sous son regard et j'ai pu jouir, douloureusement. La cage est restée utile jusqu'à présent, mais comme un dispositif à utiliser pour améliorer les rapports sexuels plutôt que comme un dispositif de retenue ou de chasteté. Nous avons regardé en ligne les dispositifs de chasteté et avons décidé d'acheter une spirale en acier. Elle avait fière allure sur le site : brillante et sévère, avec un design se situant heureusement quelque part entre la torture médiévale et le fétichisme actuel.

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